janvier 2013
- dimanche 24 février 2013 à 23h26
- Une minute. Puis deux. Puis trois. Et soudain tout s’écroule et se meurt. Tout ment en ton absence. La vie me laisse un goût amer sur les lèvres, celui d’un passé qui me torture. Plus je me sermonne, plus je plonge dans cet abîme qui m’emprisonne. Je me suis toujours revendiquée solitaire mais la vérité est que la solitude m’insupporte. Ton regard pur m’a sauvé et je bénirai chaque jour futur ce cadeau du ciel. Tu es entré dans ma vie comme se lève le soleil, avec douceur et patience. Ton sourire m’a inondé de sa chaleur et ce regard tendre que tu poses toujours sur