juin 2015
- lundi 6 juillet 2015 à 20h56
- Le silence de la non-présence règne sur cette pièce dans laquelle je demeurais seule hier et demeurerai seule demain. Mais le pire peut-être est de savoir que tu es tout près et que tu ne viendras pas. J'admets avoir été naïve de croire promesses et belles paroles pour finalement être déçue. Oui, même toi tu m'as déçu. Fatiguée de mener, fatiguée de faire face seule à l'adversité, je ne demandais pourtant pas grand chose. Je voulais enfin être celle à qui l'on tient la main plutôt que celle qui tient. Celle qui compte d'abord plutôt que le deuxième choix. Est-il